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2020-01-03

Mon fils grandira avec une idée claire et nette de la justice

Voilà enfin la fin de l’histoire



by Dr Dan Waniek, MD
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Mon fils grandira avec une idée claire et nette de la Justice. Voilà enfin la fin de l’histoire. C’est l’histoire de sept années de vaches maigres, des vaches amaigris à bon escient. Mais, grâce à Dieu, mon handicap physique qui s’aggrave et s’agrandit avec chaque jour qui passe, n’empiète pas sur mon mental, car je suis toujours à la recherche de la justice. Et justice sera faite. Le procès sera publique.


Venez ! Non seulement vous verrez l’accusé sortir de ses cachotteries, s’efforçant de justifier péniblement l’injustifiable. Vous verrez aussi les dimensions de l’effroyable injustice qu’il a commis en s’enfonçant dans ses mensonges, mais vous allez surtout pouvoir participer au grand procès du système qui lui a permis à agir comme il l’a fait. Les impunités, c’est fini!


La justice est agréable a Dieu. Cette année est celle ou l’accusé Astier qui n’est pas arrivé encore à me voir mourir, sera accusé, jugé, et très probablement écroué, si Dieu le veut ! Pour le dossier de l’accusé Astier, tout est enfin presque prêt, parce qu’il continue d’en rajouter, par exemple en me bloquant l’accès à mes dossiers au cabinet et en me saisissant le meubles. Il devrait non seulement les rembourser mais payer tous les soins de tous ses électeurs que ceux-ci n’ont pas pu avoir, parce l’élu les a rendus impossibles en me fermant le cabinet.


Les preuves sont impossible à détruire, les faits sont caractérisés et elles sont formulés clairement par le Code Pénal. Les faits sont imprescriptibles. Même si décède, comme suite directe aux agissements de l’accusé Astier, son rôle sera enfin dévoilé et non plus caché aux électeurs et au public.


On ne se comporte jamais comme il l’a fait avec le médecin venu rendre service au village. On lui prétend pas un loyer des Champs Élysées pour une grange à peine aménagé. On ne le loge pas au grenier où le vent souffle. On lui fait pas un bail illégal, sans que l’immeuble existe et pour l’arnaquer davantage on ne lui conditionne pas l’installation, pendant qu’il est venu rendre service au village, par une signature en blanc et le renoncement à l’état des lieux.


Quand les faits sont signalés et le loyer exorbitant est déposé chez un huissier de justice on ne lui bloque pas les comptes par les impôts pour se servir de l’argent des patients car le médecin ne gagne rien pour lui.


Quand le médecin tombe malade on ne profite pas de son cancer pour lui couper le courant au cabinet et lui détruire les fichiers des patients et les dossiers des patients. Quand le médecin survit à peine, à une transplantation de foie suivie de six interventions sous anesthésie générale, grâce à Dieu, et seulement à la générosité de ses patients, on ne lui demande pas ce qu’il ne peut pas payer, un loyer exorbitant.


Quand enfin, avec quatre mois de retard, histoire de s’assurer que je sois toujours vivant, les assurances du médecin commencent à lui verser une indemnité journalière, si on est maire responsable, on ne lui retient pas ce peu d’argent à la source, par OTD, pour avoir dans la poche ce loyer exorbitant, quitte à le voir sans argent, sans nourriture (même pas le minimum « social » !) et surtout sans soins.


Quand on voit qu’il est toujours pas mort, on ne prolonge pas, en multipliant par six ans et par des centaines d’OTD sa chasse à l’homme, en l’empêchant effectivement non seulement de vivre, mais de régler rien, courant, impôts, cotisations, ou trousse d’urgence au cabinet. Il s’est trompé sur le caractère de ses « administrés ».

Ce jeu, même s’il est à la mode, n’a jamais pu rendre une âme esclave. On n’a qu’un Seul Seigneur et Maître ! Il ne savait peut-être pas que nous sommes venus du pays ou les emprisonnements, les délations, les tortures, les expérimentations sociaux diaboliques n’ont fait que des centaines de saints parmi des milliers sinon de centaines de milliers de martyres parmi les milliers de victimes.


Par miracle je suis toujours vivant. Handicapé devenu brusquement à plus de 80%, je ne vous fais pas un dessin, mais vivant. J’ai même pu reprendre à mi-temps thérapeutique (qui pour les médecins de campagne représentent plus de cinquante heures par semaine), quelques patients...


Les témoignages de tous, car ils ont voulu être mes témoins sont tous formels, et accablants. Grâce à Dieu, nous sommes professionnellement bien guidés dans la poursuite de la Vérité. Justice sera faite. Rien n’arrêtera sa recherche. Qu’est-ce que cela fait du bien de la voir !


Et faire du mal à bon escient en espérant l'impunité c'est très, très mauvais ! Et c'est vraiment catastrophique pour la santé, suite aux agissements de l’accusé Astier qui s’est acharné à fermer le Cabinet Médical Saint André de Dammartin. Pensez qu’il y’a des communes en France qui se battent pour avoir un médecin en le logeant gratuitement. À Dammartin en Serve on le harcèle pour le tuer à petit feu.


Les bourreaux l’ont rêvé, Astier l’a fait. L’accusé Astier l’a fait, coûte que coute, en dehors du bon sens, du sens civique, du sens du devoir, du sens de ses responsabilités d’élu, pour ne pas commenter le sens de l’humanité qui lui est si visiblement étrangère, ou noyée dans des ressentiments dégoûtants.


Résumons :


Voilà le médecin de Dammartin en Serve tombé cancéreux en exercice de ses fonctions, par épuisement professionnel, transplanté et réopéré six fois.


Voilà l’accusé Astier ? Qu’est-ce qu’il fait, lui ? Il signe des centaines d’OTD, et les sous-traite ensuite, pour partager les responsabilités.


Comment est-ce possible ? Il a quelque chose à cacher : Un bail illégal, pour un loyer outrancier de spéculation sans état de lieux.


Le médecin devient, suite au blocage effectif de tous ses comptes et l’acharnement procédurier (en fait ordurier), livré à son destin, sans aucun moyen de se faire soigner. Il évite la mort parce que Dieu existe et parce que Lui, Lui Même et Lui Seul est le Meilleur Médecin. Mais le prix à payer est conséquent : un handicap reconnu et évalué à au moins 80%.


L’accusé, bientôt l’ex-maire, ne pouvant plus prétexter l’immunité par une mauvaise interprétation de ses attributions, ne pourra non plus prétexter négligence, non-connaissance de la réalité ou ignorance de la loi pénale que nul n’est censé ignorer, surtout comme maire élu. La Non-Assistance voulue pendant six ans à personne en danger de mort en pleine connaissance de cause est délit pénal, puni par emprisonnement, amendes, dommages-intérêts et déchéance de son statut et de ses droits civiques. Il a en effet accusé réception d’une centaine de mes courriers recommandés qui lui ont été adressés pendant six ans et qui sont soigneusement répertoriés au Parquet de Versailles.


Non, couvrir ses magouilles avec un acharnement meurtrier jusqu’au crime par non-assistance à personnes en danger de mort, causée et voulue jusqu’au bout, je répète, pendant six ans d’affilée, ne peut jamais être accepté. Justifier l’injustifiable est cynique, peut être, mais criminel sûrement. Ma décision est formelle : pas de repos jusqu’à la condamnation et l’incarcération de l’accusé, même en allant jusqu’aux Assises et à la Commission Européenne de Droits de l’Homme.


On pourra parfois tenter de miser sur l’impunité, on pourra rajouter magouilles sur magouilles pour se dorer le blason ou essayer de sauver son honneur, ou le poste, sa face, ou au moins la laver quand elle est souillée, mais c’est ignoble. Et c’est ce qu’on conçoit difficilement chez nous, les humains. Mais quand on ne la regrette pas, c’est une ignominie. Cela nous interdit le pardon, le fait de ne pas se repentir.


Quand on est maire, on pourra compter sur le réseau des pots, sur les réseaux formées par l’octroi des avantages, sur l’inertie ambiante, sur la fatigue de la banalité du mal, sur la dissonance cognitive (qui devient rampante de nos jours), pour ne pas se faire juger, condamner et écrouer. Mais si l’honneur est perdue, tout est perdu. Le facteur aggravant des agissements de l’accusé est la destruction dans la foulée, de son devoir d’élu, et de sa dignité humaine et professionnelle avec la fermeture voulue et programmée, poursuivie malgré tout, du cabinet médical de la commune.


Hippocrate ou hypocrite, faut toujours choisir. Payer intégralement des dommages-intérêts ne suffira pourtant jamais à refaire la santé du médecin détruite à petit feu, avec un acharnement diabolique si mal caché.


Mettre tout le poids de la chape de plomb d’un système social moribond, là ou le mal est fait surtout par les « gens de bien » qui ne font rien pour l’empêcher, en restant inerte, béates ou juste complices est un geste pervers et destructeur. L’élu doit être responsable de ses actes, il ne doit jamais croire à son impunité et doit toujours savoir qu’il doit du respect à ses concitoyens.

Ses « administrés » si on doit utiliser ce mot horrible, ne sont pas là pour servir ses affaires et ses intérêts personnels, ses inhibitions, ou ses jalousies. On est celui que l’on veut être si on peut, on sait et on tente au moins de toujours être moral.


La moralité de l’histoire ou un maire d’une commune loins de Paris ou un médecin est venu rendre service et s’est tué à la tâche mais n’est jamais achevé par la méchanceté du maire :


En attendant la couverture par le pourrissement de ses torts, l’accusé s’est fait infliger à lui même un pourrissement de son caractère humain. Ses masques commençaient à tomber, il y’a six ans et n’arrêteront plus a faire du bruit.





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